Dans ce troisième mouvement, il ne s’agit plus d’une conférence-spectacle mais d’un « théâtre d’ombres et d’images, entre science et onirisme ». La scène devient un lieu de perception, un lieu d’«essais scéniques et d’expérimentations philosophiques ». Le plateau est partagé avec les spectateurs qui sont invités à entrer dans la discussion et dans la réflexion en cours…
Une « exploration de la contagion comme processus essentiel à la constitution de notre monde confiné »… On ne saurait être plus au cœur de l’actualité, plus en résonnance immédiate avec les bouleversements qui nous entourent.
Un spectacle qui donne à jouer des sens, à développer l’ouïe et le toucher, à prendre la mesure de zones inédites. Un spectacle qui met les spectateurs « en situation d’expérimentation, à la fois sensible et philosophique ».
Une « expérience de désorientation ». Une immersion. Contagieuse ?