C’est bien le cas de cette version pour trois chaises, douze personnages et quinze instruments.
Un conte revisité par trois artistes polyvalents, tour à tour musiciens, conteurs, chanteurs et bruiteurs, qui ont su garder le merveilleux, en rétablir la gravité et la noirceur en y intégrant modernité, poésie et humour.
Ma première joue du violon, elle est La Belle mais est aussi conteuse et Première Fée.
Mon deuxième joue de la cornemuse et du xylophone, il est aussi conteur et… Méchante Fée.
Mon troisième joue de la guitare baroque et des percussions, il est le Prince et… Troisième Fée.
Vous y ajoutez une Reine et un Valet, deux instruments rares et anciens – un théorbe et un bodhran –, une forêt et une piqure sans laquelle… Et vous avez un conte à rester bien éveillés ! Ils sont drôles et décalés.
Ils ont l’impertinence à fleur de mots. Ils sont poétiques et ludiques. Ils sont...
« Ubiques ».