Son Atlas de l’anthropocène offre un ensemble de « cartographies ». Trois d’entre elles, dont les thématiques sont liées à l’eau, ont été retenues. Ainsi, il sera question : De La morue, l’occasion de dénoncer sa prédation, sa surpêche, son interdiction de pêche, sa disparition et de, peut-être, savoir pourquoi « quand une morue s’en va, elle ne revient pas... » ?
Sur fond de réel et à propos de sujets d’actualité, Frédéric Ferrer nous conduit vers un joyeux moment de sagacité loufoque, absurde et pertinente.