Là, pour peu que l’on se laisse conter, est un monde inconnu, fantasque et fantastique où l’on croise un gentil géant mélancolique, un curieux renard raconteur d’histoires, une plante verte qui s’est enfui de son pot, un feuillage qui danse. Là, une balançoire nous attend et c’est la plante verte qui nous pousse. Alors, dans la pénombre, on peut croiser, un loup, bien sûr, mais aussi une flopée d’autres habitants...
La bande-son, musicale et inventive, est là pour faire entendre un bruit, accompagner un geste, suggérer une odeur. Le décor et les lumières donnent à rêver, à penser, mais aussi à se faire un peu peur. On est à la lisière de l’enfance et de l’âge adulte, là où tout est vrai, faux et envoûté.
En co-accueil avec le Théâtre de l'Arsenal